Entre 1991 et 1996, l’équipe du laboratoire MIM et son directeur de recherche François Delalande1, du GRM2, instaurent avec les Unités sémiotiques temporelles (UST) une nouvelle façon d’aborder le problème de la sémantique musicale. Ils se veulent dans le prolongement et en complémentarité du Traité des objets musicaux3 de Pierre Schaeffer4, à propos duquel François Delalande, en accord avec le MIM, constatait alors
Auteur, œuvre d'art, création : depuis quelques décennies, on aime bien se demander si telle ou telle discipline, mise en scène, lumière, mode, jeux vidéos, publicité ou performance, peut intégrer ce champ sémantique ô combien laudatif, pour des raisons autant financières que de prestige.